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Santé : quand le numérique répond aux nouveaux enjeux de la prévention

From www.rslnmag.fr

E-santé, télédiagnostics... le numérique nous fait basculer dans une logique de prévention renforcée. De quoi alléger les coûts pour la sécurité sociale ? Trois experts du secteur en débattent et présentent les initiatives de santé connectée de leurs organismes respectifs.
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L’e-santé au cœur des réflexions internationales !

From www.weka.fr

Une norme internationale est en cours de validation pour l’interopérabilité en santé mobile. - ARTICLE - Cybersanté,Téléphone,E-santé,Santé mobile,Télésanté,Télémedecine,M-santé,Dossier patient électronique,Numérique,Smartphone,Tablette

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Santé numérique : la France à la conquête de l’Europe

From si-management.blogspot.fr

Le Cercle des Décideurs Numérique et santé noue un partenariat avec WoHIT 2014 et lance un cycle de conférences sur la santé numérique. Ancré dans le paysage institutionnel français, il apportera son expertise sur la marché français en écho au WoHIT qui se tiendra à Nice du 2 au 4 avril, autour du thème « e-health with benefits ». Conférences plénières et ateliers décrypteront les opportunités en santé numérique aussi bien dans les régions françaises qu’en Europe afin de conquérir de nouveaux marchés à fort potentiel. La « silver économie » filière émergente sera elle aussi à l’honneur. WoHIT 2014 quant à lui, ouvrira les portes de l’Europe aux décideurs et consacrera, entre autres, des sessions aux spécificités des pays scandinaves (Finlande, Suède, Norvège et Danemark). Ces deux approches sont complémentaires au service d’une ambition commune : le développement d’une véritable filière numérique et santé.

Le Cercle des Décideurs Numérique et Santé, un think tank collaboratif
Créé en février 2012 à l’occasion du Colloque des Industries du Numérique et de la Santé, le Cercle Numérique et Santé œuvre depuis deux ans déjà pour faire émerger dans le débat public, une prise de conscience des enjeux liés au déploiement des technologies numériques dans le secteur de la santé et de l’autonomie. Avec désormais plus de 140 membres actifs venus d’univers différents, industriels, professionnels de santé, représentants politiques,… il continue son travail et invite, en 2014, chaque acteur impliqué à débattre à ses côtés et à multiplier les rencontres sur deux thèmes principaux: « le patient, le parcours et le numérique » et l’axe international.

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Maladies chroniques : des parcours ou des actes ? - MARSADHOC

From marsadhoc.blogspot.fr

La prise en charge des maladies chroniques nécessite, le plus souvent, l’intervention de nombreux professionnels, de statut et d’exercice différents, qui contribuent au parcours de soins du patient. Disparités des modes de rémunération, pénurie dans certaines spécialités, freins aux partages de données entre professionnels, insuffisance de coordination : de nombreux facteurs concourent à rendre ces parcours complexes…

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Volet AVC du Cadre d’interopérabilité - ASIP Santé

From esante.gouv.fr

L’ASIP Santé publie, pour concertation publique, les spécifications du « Volet Accident Vasculaire Cérébral, AVC » du Cadre d’Interopérabilité des Systèmes d’information de Santé (CI-SIS).

 

Ces spécifications sont issues des travaux menés conjointement par la Société Française de Neuro-Vasculaire (SFNV) et l’ASIP Santé, dans le cadre du Plan d’actions national « accidents vasculaires cérébraux 2010-2014 » et du plan national télémédecine, dont l’AVC est une des trois thématiques prioritaires de déploiement.

Philippe Bédère's curator insight, December 3, 2013 12:26 PM

Le Volet AVC a pour objet de garantir l’interopérabilité des éléments d’information partagés et/ou échangés au sein de la filière de prise en charge AVC, selon le schéma d’organisation préconisé dans l’instruction DGOS/R4/R3/PF3/2012/106 du 6 mars 2012 relative à l’organisation des filières régionales de prise en charge des patients victimes d’accident vasculaire cérébral (AVC).

 

L’Unité de Neuro-Vasculaire (UNV) est la cellule d’expertise au centre du dispositif, c’est pourquoi les travaux de définition des modèles de contenu métier ont été conduits à partir du point de vue de l’UNV.

 

Ce volet couvre la phase aiguë de la prise en charge. Des travaux complémentaires viendront enrichir le volet pour traiter la prise en charge aval de l’UNV, jusqu’au retour du patient sur son lieu de vie, en intégrant le bilan post AVC.

 

Le modèle AVC se constitue d'un ensemble de trois volets, couvrant chacun les différentes périodes de la prise en charge aiguë d'un AVC par une Unité Neuro-Vasculaire (UNV) :
- l'admission en UNV (AUNV),
- l'épisode de soins en UNV (EUNV),
- la sortie de l'UNV (SUNV).

Santé digitale: médecins et patients acteurs du changement

Quelles que soient leurs formes, les principaux actes de télémédecine (téléconsultation, télé-expertise, télésurveillance) ne sont pas remboursés et les praticiens qui participent aux nombreuses expérimentations en la matière, médecins ou pharmaciens, ne sont pas rémunérés pour le service médical rendu. Si le PLFSS 2014 prévoit le financement d’actes ciblés, ils ne seront pilotés et évalués qu’au décours des trois prochaines années. Nous sommes donc loin d’un modèle économiquement viable et reproductible au niveau national, à la différence de nos voisins européens (Italie, Allemagne ou Espagne) qui ont profité d’une autonomie de gestion et de fonctionnement au niveau régional pour définir des protocoles de prise en charge.

Pour autant, la France fourmille d’initiatives portées par les professionnels, certaines en toute indépendance. Toutes visent un bénéfice immédiat pour les patients montrant que les outils sont bien au service des usages et non l’inverse, comme le rappelle Pierre Traineau, Directeur général du CATEL. Les patients eux-mêmes se mobilisent et tirent profit des nouvelles solutions technologiques mises à leur disposition pour prévenir, suivre ou mieux accompagner leurs symptômes et leurs maladies. Preuve en est la consommation croissante des applications mobiles de Santé et l’explosion du « Quantified self ». Ces deux tendances pourraient inciter les différents acteurs de la chaîne de Santé à basculer définitivement vers une économie de services.

Xavier SEDES's curator insight, November 30, 2013 9:31 AM

Les professionnels s’organisent

 

Le Dr Fabrice Denis installé au Mans est un médecin pionnier. Ancien chercheur de l’INSERM et féru de numérique, il s’est associé à une équipe du CNRS pour concevoir une application inédite, utilisable sur n’importe quel smartphone, ordinateur ou tablette, permettant au patient de rester en contact régulier avec son cancérologue pour prévenir les rechutes de cancer du poumon. Plusieurs paramètres cliniques sont surveillés de façon hebdomadaire parmi lesquels le poids, la fatigue, la perte d’appétit, la douleur, l’essoufflement ou la toux. Des algorithmes d’alerte ont été conçus permettant de repérer de potentiel rechutes, en moyenne 6 semaines plus tôt que les examens d’imagerie programmés, selon une étude réalisée auprès de 43 patients et publiée dans la revue Supportive Care in Cancer (Springer - Septembre 2013). Encourageant, sachant que la survenue d’une perte de poids, d’un essoufflement ou d’une toux n’amène pas forcément les malades à consulter. Le système est simple d’utilisation, ne prend que 5 minutes par semaine au patient et lui permet de rester en liaison étroite avec son médecin. Il devrait être prochainement élargi à d’autres cancers, œsophage, vessie, colon-rectum et ovaire.

A quelques centaines de kilomètres de là dans le Limousin, le Dr Patrick Dary a monté de toutes pièces son projet de télémédecine. Alors qu’il répond aux priorités définies par le gouvernement de lutte contre les déserts médicaux et les AVC, ce cardiologue a eu le plus grand mal à trouver des sources de financement. Sans une bourse de BOEHRINGER, reçue dans le cadre du programme international de prévention des AVC « 1 Mission – 1 Million » et l’aide de la structure mutualiste KLESIA, son projet n’aurait certainement pas vu le jour. Pourtant, les résultats cliniques obtenus sont remarquables. De quoi s’agit-il ? Le Dr DARY suit à distance plusieurs centaines de patients depuis 2011, poursuivant 3 principaux axes de recherche: mise en place d’une télésurveillance pour le suivi de l’hypertension artérielle mal contrôlée, de l’insuffisance cardiaque et de la fibrillation auriculaire (FA). Cette dernière approche est particulièrement novatrice sachant que la FA est une cause majeure de survenue d’AVC. Une personne âgée de 40 ans ou plus sur quatre développe au cours de sa vue une FA avec un risque d’AVC multiplié par 5. Le défi technique pour télé surveiller la FA suppose le port d’un holter par le patient, permettant de détecter les troubles du rythme. Le Dr DARY l’a relevé et les résultats de son étude observationnelle viennent d’être publiés dans la revue European Research in Telemedecine (Elsevier – Octobre 2013) et présentés au dernier congrès de l’ANTEL les 15 et 16 novembre dernier. Elle a été menée sur 200 patients à risque, le suivi était ambulatoire par la pose quotidienne d’un enregistreur sur une durée de 11 jours et 10 h par jour avec détection d’arythmie et transmission automatique d’ECG. Pour 33 % des patients, la télésurveillance a amélioré le diagnostic et le traitement de la FA, permettant d’ajuster et de sécuriser la thérapeutique délivrée. Prochain défi pour le Dr DARY et prochain axe de recherche, le déploiement de ce programme à plusieurs EHPAD et maisons pluridisciplinaires de la région limousine. 

 

OPTISAS, vaste étude de télé suivi du syndrome d’apnées du sommeil portée par les professionnels

 

Autre exemple, à large échelle celui-ci, l’étude OPTISAS a débuté en février 2013 sous l’impulsion de la Fédération Française de Pneumologie et de la Fédération des Spécialités Médicales. Elle durera 1 an (6 mois d’inclusion – 6 mois de suivi), impliquant 200 médecins et 1 800 patients. L’hypothèse du projet est que le télé-suivi pourrait réduire de 5 % le taux de patients abandonnant la PPC au cours de la 1ère année ainsi que les hospitalisations associées. Souvenons-nous que l'inobservance très élevée de la PPC, supérieure à 20 % la 1ère année, a conduit les autorités à modifier les conditions de prise en charge et de remboursement des patients nouvellement diagnostiqués à compter du 1er octobre 2013. L’étude OPTISAS  a été rendue possible grâce à l’existence d’un outil préalablement mis en place par la FFP et comptant 63 000 dossiers patients. 1ère du genre par son ampleur et l’origine de ses promoteurs, cette étude pourrait inciter les autres fédérations de médecins spécialistes à suivre la même voie.

 

Les patients se mobilisent

 

Le marché de la m-Santé explose. On estime que le marché mondial des applications mobiles de santé passera de 1,3 milliards de $ en 2013 à plus de 10 milliards de $ en 2018. Même tendance pour le nombre d’objets connectés et de tablettes numériques. Sur les 100 000 applications disponibles à ce jour, celles dites de « bien-être » sont prépondérantes, notamment les applications visant une perte de poids. Le suivi ou la mesure de ses constantes biologiques (Quantified self) est devenu un créneau commercial juteux. Dans le sillage de WITHINGS, véritable success story à la française qui vend balances et tensiomètres connectés, une multitude d’objets communicants pour mesurer stress ou activité physique envahissent le marché: bracelet AIRO, FuelBand Nike, coach électronique FITBIT, etc.  L’offre fait elle la demande ? Dans le cas présent, on serait plutôt tenté de dire que le besoin à couvrir est énorme. S’il est encore trop tôt pour évaluer le bénéfice sur la santé, le succès est au rendez-vous. Recommandées ou non par les médecins, comme c’est déjà le cas en Angleterre pour certaines applications mobiles, ces nouvelles solutions sont plébiscitées par les utilisateurs. Que l’on soit adepte de la prévention ou malade chronique, le suivi de l’activité physique et des mesures hygiéno-diététiques restent des fondamentaux pour aller mieux. Les acteurs du monde médical, laboratoires, médecins, institutionnels, opérateurs télécom et mutuelles ne s’y trompent pas. NOVARTIS a lancé le programme CARDINAL autour de la nutrition et de l’activité physique. Les médecins du sport utilisent des solutions high-tech comme celles de la société PULS@CARE et sont très actifs sur la toile, tel le Dr Philippe Chaduteau. Appuyée par le gouvernement, la société IDS a lancé l’opération MySanté mobile pour mesurer l’activité physique de 1000 volontaires entre juin et novembre 2013. ORANGE soutient le mHealth Grand Tour qui est à la fois une course cycliste et une étude d’envergure sur l’adaptation à l’effort pour les diabétiques de type I. Du côté des mutuelles, les patients du programme VIGI Santé de Malakoff Médéric suivent un programme individualisé d’accompagnement hygiéno-diététique.

Aux Etats Unis, les patients sont mis devant leur responsabilité. Les assureurs mettent en place des polices plus intéressantes pour les patients suivant de tels programmes... CQFD.

 

Xavier Sédès, xavier@xaviersedes.fr, consultant e-Santé

 

Participez au Festival de la communication santé 2013. #fcs13

From fr.slideshare.net

Présentation du Festival de la Communication Santé 2013 avec palmarès 2012.

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L’ARS Ile-de-France installe une nouvelle gouvernance des systèmes d’information de santé

From www.dsih.fr

Claude Evin, Directeur Général de l’ARS Ile-de-France, a installé le Comité d’Orientation Stratégique des Systèmes d’Information de Santé (COSSIS).

 

Le comité d’orientation devra faire toute proposition pour favoriser le développement des systèmes d’information de santé (SIS) et évaluer leur mise en oeuvre, émettre des recommandations sur le programme et le budget annuel régional, proposer des études prospectives sur tout domaine d’intérêt relatif aux SIS et émettre un avis sur le schéma directeur régional des SIS et ses évolutions.

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e-Santé : le boom part.1 - le blog usages d'entreprise

From blogs.orange-business.com

Le monde de la santé a entamé ces dernières années une profonde mutation poussée par l'essor des nouvelles technologies mais aussi par les transformations sociétales et les contraintes budgétaires liées à l'explosion des dépenses de santé.
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